La plus petite pyramide de Gizeh; ces lunettes sont les plus petites de la collection métal solaire.
Un fils métallique ajouré, vient accentuer les coins supérieurs de la lunette.
Le pont des lunettes est une seule pièce métallique, avec des arrêtes biseautées comme si une pyramide s'était enfoncée à l’intérieur.
La charnière de la branche vient se loger dans le tenon de la face
Finition de la branche en pointe.
Le serre-cercle est strié en forme de fleur, c’est un vieux modèle que l’on utilisait dans les années 70’.
Les verres sont entourés d’une coque métallique
de 4 mm d’épaisseur.Le métal des charnières et tenons est martelé avec soin, à la main, au Japon.
Plaquettes de nez en céramique.
La famille Pontet, originaire de Marseille, travaille dans l’univers des lunettes depuis quatre générations.
Dans l’entre-deux-guerres, l’arrière-grand-père d’Hermes Pontet, Edmond, exerce comme photographe : une époque où les opticiens n’existent pas encore, avec leurs loupes et leurs verres oculaires, seuls les photographes sont alors équipés d’outils permettant de diagnostiquer la vue et la corriger.
Plus tard, en 1930, son fils Jean-André, le grand-père d’Hermes, ouvre Optique Pontet : c’est l’un des premiers magasins d’optique de la cité phocéenne... et l’affaire perdure jusqu’à aujourd’hui !
Fort de cette histoire, Hermes Pontet, fondateur de la marque, a grandi et évolué dans un monde où les lunettes sont présentes.
Aux repas de famille, le sujet est central. Enfant, il joue naturellement avec les nombreuses lunettes de son grand-père, dénichées ça et là dans les tiroirs secrets. C’est que chaque paire a son histoire propre, reliée à un lieu, une rencontre ou un voyage...
Il apprend petit à petit que par delà son utilité, un objet aussi simple qu’une paire de lunettes peut permettre de se définir et d’affirmer au monde sa personnalité, comme une projection esthétique de soi.